Nom : MACTAVISH
Prénom : Soap
Age : 27 ans
Sexe : Masculin
Clan : Marines, Lieutenant-colonel 1 ère classe.
Groupe : tireur d'élite
Caractère :
Soap est très impulsif et un peu fou lors des batailles. C'est un homme qui ne fait pas dans la légère, s'il ne peut pas faire le discret, il fonce dans le tas. Il est sinon très obéissant, mais c'est d'abord ça conscience qui le guide et non les ordres de son supérieur. S'il juge bon de continuer son chemin, il le fera même si on lui interdit. Il est toujours heureux hors combat. Mais quand il se trouve au milieu de la bataille, il perd toute joie et se trouve dans une sorte de folie et une montée d'adrénaline se fait sentir. Il pense d'abord à la survie de son groupe que de sa propre vie. Pour lui, il a été envoyé pour aider les autres et non pour les détruire. Il est au grade de lieutenant-colonel. Un grade important qu'il doit assumer et respecter en montrant l'exemple. C'est un tireur d'élite et un stratège de choix. Mais ne lui demander pas comment marche un ordinateur, il n'aime pas cette technologie. Il pense que bientôt les ordinateurs prendront le contrôle des humains.
Physique :
Soap mesure 1.83 mètre. Il a la peau blanche, une tache de naissance sur le torse en forme d'étoile. Il est plutôt musclé, un peu barbu. Il a les cheveux coupés courts comme tout bon marine qui se respecte. Son équipement est composé de : un gilet pare-balle, un casque renforcé en carbone, des lunettes protectrices anti-éclats de toutes sortes. Un pantalon rembourré, un foulard contre la poussière qu'il met devant sa bouche, des gants en cuirs renforcés, un sweet spéciale pour les militaires, et une banane remplis de toutes sortes de choses. Une vraie tenue de soldat en gros. Dans ses multiples poches, il a l'équipement nécessaire à sa survie dans les milieux hostiles. C'est à dire, une fusée de détresse, des rations, des vitamines, de la morphine, un petit kit de premier soin, un talkie-walkie, un PDA, un portable, une couverture de survie, une montre de plongée, un ampèremètre, un capteur cardiaque, une visée thermique, un silencieux, des balles chemisées, une visée laser pour une frappe aérienne et des chargeurs. Son équipement de tireur d'élite est composé d'une tenue de camouflage avec fausses feuilles et une couverture de feuilles séchées. Sinon il garde ses sacoches.
Armes :
Un Barret °50 à balles explosives et perforantes.
Une M93 raffica rafale 3 coups
Un pistolet à fusée.
CHAPITRE 1 :
Naissance et Enfance d'un Soldat
« Tu n'as pas assez de force ! »
Voilà, je suis né le 17 mai 1983 , un soldat vient de naître et je ne le savais pas encore. Je suis né d'un père qui n'a jamais été là pour moi car il était parti à ma naissance et d'une mère dont l'amour était immense. J'étais un bébé tout rose et normal. Je n'avais aucune anomalie ni de difformité. J'étais en un seul morceau comme m'a dit ma mère. C'est à mes 3 premiers printemps que j'ai commencé à fréquenter la maternelle. Je ne suis jamais allé en crèche sauf une fois, mais je me suis battu avec un de mes camarades car il avait frappé un de mes amis. J'ai passé mes 3 années dans cette maternelle surpeuplée en France, la plus belle des nations avant la 3 ème guerre mondiale opposant la Russie aux Etats-Unis. Nous étions bien évidemment au milieu. Nous étions restés neutre mais la crise après la guerre se sentit. A mes 8 ans, ma mère m'avait emmené à la foire, je pouvais faire du manège et autres divertissements. Dont le tir au fusil... J'étais devant le stand et j'admirais les fusils, j'en voulais un du moins en essayer un. Ma mère me sourit un peu cyniquement car elle n'approuvait pas la guerre. Un de mes camarades de classe était là lui aussi, impressionné, il me dit: « Tu n'y arriveras pas. Tu n'as pas assez de force ! » Le forain ria et me passa le fusil en me disant : « Montre lui, ce que c'est qu'un tireur ! » Je pris le fusil, je souriais, j'étais heureux. J'étais insouciant à cette époque mais cela me plaisait beaucoup. Je visais les trois ballons, me concentrant un maximum. Mon fusil bougeait, je retenais donc ma respiration ( je ne savais pas que c'était une manœuvre de tireur d'élite ). Je fermai les yeux visualisant les ballons. Et là, j'appuyai sur la gâchette. Le plomb sorti, et les 3 ballons éclatèrent en même temps. Impressionné, le forain me demanda de recommencer. Il remit 3 ballons et rebelote, il mit alors 4 ballons, la même chose se produisit. Environ 5 fois d'affiler je réussis mes coups. L'homme du stand m'offrit alors mon propre fusil et sous le regard de ma mère en colère, il me dit à l'oreille : « Dès que ta mère sera d'accord, entraîne toi à tirer, tu as un don et tu dois t'en servir. »
CHAPITRE 2
Mes débuts au collège
« ça te dirait de venir t'entraîner avec de vrais militaires ? »
J'ai eu 11 ans, et je passais donc au collège. La 6 ème, enfin j'étais dans un niveau un peu plus adapté. Là aussi j'essayais de faire de mon mieux. Ma mère me laissa la carabine, elle me faisait confiance. Je ne voulais pas la trahir. Je partis donc dans les dernières plaines qui existaient sur Terre, j'installais mes petits soldats en plastic et je chargeais mon fusil avec mes plombs. Je testais d'abord à 10 mètres. Il fallait que je touche 1 soldat. * clic* Le soldat tomba. Tout en rechargeant, je souris et me reculais pour arriver à 20 mètres. Maintenant 2 soldats... Et le manège dura pendant 5 ans jusqu'à ce que j'atteigne la portée maximale de ma carabine, c'est à dire 380 mètres. Mon dernier soldat qui me restait y passa. Un homme m'avait rejoins depuis 2 ans, il me donnait des conseilles et me regardait à tirer. Il voyait un jeune soldat en moi, un tireur d'élite qu'il disait. Je ne le croyais pas trop, mais je le laissais parler pour ne pas le contrarier. Alors un jour, quand j'avais mes 16 ans, il me dit : « Ça te dirait de venir t'entraîner avec de vrais militaires ? Tu pourras essayer d'autres fusils que ta vieille carabine . » J'étais d'accord, mais pendant les vacances, je ne voulais pas gâcher ma scolarité pour ça. J'en parlais avec ma mère, la suppliant, je voulais y aller, je voulais voir des professionnels. Elle m'autorisa, voyant mon insistance dans mes yeux bleus. Elle soupira, elle le savait que j'allais devenir comme mon père, un soldat ... Un soldat que l'on allait envoyer sur le champs de bataille, de la chair à canon quoi ... Je partis donc 2 semaines dans un de ces camps. L'homme qui était si souvent resté avec moi, pour m'apprendre à tirer s'appeler Price...
CHAPITRE 3
La première mission
« Il est mort gamin, laisse le tomber ... »
Pendant ces deux semaines, j'appris à tirer comme un tireur d'élite. Mes prestations au combat étaient très remarquées. Je passais donc les grades, et finalement j'ai arrêté mes études en médecine pour ma carrière de militaire. A mes 18 ans on m'envoya au front en Afghanistan contre des soi-disant terroristes. Je ne savais pas pourquoi je me battais, mais par contre, je comprenais qu'il fallait tuer des hommes qui menacer de faire exploser une ville tout entière. On m'avait affecté à la compagnie Delta 1.0.0 . Nous étions l'élite des tireurs. Mon grade augmenta et je passais donc caporal des divisions de tireurs d'élites. C'était ma première mission importante en tant que sniper. Nous avions été déposés sur une dune, qui surplombée toute la ville où se trouvaient les terroristes. J'étais armé d'un Barret °50 à balles explosives. La plus puissante de toutes les armes de sniper existante de nos jours. Elle pouvait arrêter un tank léger à plus de 150 mètres. Ma mission consistait à repérer les cibles et soit de les indiquer aux troupes qui allaient attaquer soit de les tuer. Mon fusil était équipé d'un silencieux, impossible de me repérer. L'attaque commença et j'avais repérer tous les ennemis. Mon oeil dans le viseur, je tirais sur tout ce que je voyais et qui pouvait être dangereux pour mes camarades d'en bas . J'avais même un ami, un capitaine. Le capitaine Price, un ancien des SAS les meilleurs soldats anglais. Je le vis dans mon viseur thermique. Je souriais. Concentré sur lui, je ne pus voir le gars qui le tua. J'ouvris grand mes yeux quand le terroriste vida son chargeur sur mon ami. Je ressentis une grande frayeur. Je m'énervais et voulu venger mon ami. Je tirai 4 balles sur lui même si une aurait suffit. Un des tireurs qui était avec m'a même demandé d'arrêter et m'obligea à lâcher mon fusil. Je courrais après que les chars soient passés pour que j'aille voir le capitaine. Je n'y croyais pas, lui qui se prétendait invincible. Il était mort, devant moi par ma faute. Le colonel Quarritch me rejoignis et me dit : « C'est fini. Il est mort gamin, lais le tomber ... ». Mais je ne voulais pas, j'avais demandé qu'il est un grand enterrement. Et mon voeux fût exocet. J'étais rentré à ma base et je reçu plusieurs médailles dont la purple heart, la médaille de tireur d'élite, la médaille de patriote et mon grade fût augmenté au rang de lieutenant pour ma bravoure. J'avais 22 ans et mon avenir était assuré.
CHAPITRE 4
Ma première cible manquée
« On vous propose un nouveau poste »
Pendant ce temps, il ne s'est rien passé, j'ai tué pour le bien de l'humanité d'après mes supérieurs... A mes 22 ans, les SAS m'ont recruté. Ce sont les soldats d'élites anglais. Les meilleurs des meilleurs dans la discrétion. Il m'apprirent à me servir de ce qui me restait quand je n'avais plus mes armes. J'ai accepté évidemment. Depuis un certain temps, un nouveau criminel qui perturbe la paix sur Terre a fait son apparition. Makarov, un terroriste qui a tout prévu, il paraît ... On m'avait envoyé avec le capitaine Sullivan. Nous étions les deux meilleurs tireurs de notre base. La mission se passait à Voslovih. Une des planques de Makarov. Nous devions passer dans une ancienne ville, ravagée par une bombe Nucléaire. Nous avions un équipement spéciale, anti-radiation avec des compteur geiger. Il faut dire qu'il y a eu décontamination de l'endroit il y a 10 ans, mais on ne sait jamais. Le capitaine Sullivan était plus expérimenté que moi, il connaissait les meilleurs endroits pour avoir une vue d'ensemble de tout l'espace. Le but du jeu surtout, c'était de ne pas se faire repérer. Ça c'était une autre histoire... J'étais toujours équipé de mon fidèle Barret. J'étais un peu stressé... Nous étions postés dans un ancien hôtel qui n'était pas tombé lors de l'explosion de la bombe. Nous étions au 18 ème étages exactement, j'étais le seul tireur et lui il m'indiquait lequel je devais abattre. Nous les attendions pendant 2 jours lorsqu'enfin nous les vîmes , Makarov et son cortège arrivés en plein devant mon viseur. Il descendit de voiture, paradant tel un Paon. Dommage que cette espèce soit disparue... Je continuais à le viser. Il m'a fallait que je respecte certains critère. Le vent, la chaleur et l'effet de coriolis. 12 minutes plus tard, les conditions étaient parfaites. J'appuyai sur la détente, la balle partie, elle emporta le bras du terroriste, mais je n'eus pas le temps de vérifier s'il était vraiment mort qu'un hélicoptère nous repéra de suite après. Ma deuxième balle atteignit la tête du pilote. Je n'avais pas prévu ça. Je descendit alors en rappelle avec le capitaine et l'hélicoptère tomba sur nous. Il s'arrêta juste derrière nous. Nous prîmes alors un des véhicules à notre disposition. Sullivan fût touché d'une balle à la jambe. Je l'aidais donc à se tenir debout en l'encourageant. Le voiture allait lentement mais c'était une bonne couverture. Je donnai une compresse au capitaine pour qu'il n'est pas une hémorragie. Nous arrivâmes enfin à notre poste avancé. On m'avait signalé que Makarov n'était pas mort, mais vu sa blessure, les autres forces des SAS ont put intervenir. Mon grade augmenta et je devins alors Capitaine Mactavish, mais j'étais triste de l'avoir manqué. Ma première cible manqué. De retour à la base le colonel Sheperd m'attendez, je ne savais pas pourquoi. Il y avait un homme aussi avec lui, un homme d'affaire. Ils m'expliquèrent alors : « On vous propose un nouveau poste. Mais cette fois en Irak. Le poste serait Lieutenant-colonel I, chef du groupe des tireurs d'élite. » Certes, ce poste était alléchant mais L'Irak, C'est là, le plus gros bord*l que l'homme a fait avec les deux guerres mondiales. J'avais peur. Je réfléchis un instant. Et pris ma décision, j'étais d'accord. Mais pourquoi moi ? « Vous êtes le meilleur que nous avons comme tireur d'élite. Nous aurons sûrement besoin de vous quand ça chauffera là-bas . » Quand ça chauffera ? Je ne savais pas ce qu'il voulait dire. En tout cas, un nouveau chapitre doit s'écrire !
Code : Srane [Ama'Tohu]
Je n'ai pas terminé, désolé
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